Capítulo 2 de la novela en línea de Valentino Wajciechosczaf.
Il était tard, Hildegarde s’était barrée, j’avais pas
envie de dormir, j’avais pas plus envie de me mettre à rédiger ce putain
d’article pour la putain de revue de Belami. Et puis, qu’est-ce que j’allais
bien pouvoir raconter sur ces connards de motards tatoués ? Allez, un petit coup
de Berlioz, ça peut pas faire trop de mal, La Damnation de Faust, surtout le
deuxième acte. Je me suis resservi un Cointreau. J’étais tranquille, calme,
peinard, détendu, la queue rassasiée, tout allait bien. Ça pouvait pas durer,
sûr. Le téléphone, Hrosvitha. Et merde ! Et en colère, en plus !
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